martes, 22 de julio de 2008

Rêves...

Ô doux rêve, paisible promeneur des nuits d’été,
emmène-moi avec toi sur tes chemins de liberté
et guide mon imagination ; apaise le feu de ta vérité
et laisse mon esprit se mêler à l’or bruyant des brûlantes visions.
Je dépose en toi ma conscience, en toi se repose ma raison ;
en toi un instant les mots deviennent des ombres
et au concert des mélodies de l’âme une douce oraison
appelle mes sens à de douces images d’ambre...

Eh ! Toi ! Image furtive, frisson,
d’où viens-tu, petite curieuse ?
De quel recoin as-tu surgis ?
De quelle mémoire oubliée ?
Quelle triste envie, quel fou désir...
Laisse-moi ! Non ! Pas le désespoir !
Je t’en supplie, laisse en moi le doute,
la peur et l’impuissance ;
Mais n’abandonne pas ton rêveur à l’idéal,
car dans le combat inégal du rêve et de la vie,
la vie sans doute s’en trouverait sacrifiée.
J’aime tant les hommes et j’aime tant rêver !
Ne me fais pas haïr en songe ce que j’aime en réalité !


20/07/08

1 comentario:

guapeta dijo...

Félicitations à mon fils poète, j'espère en lire encore plein d'autres !